Cinéma, Théâtre, Voix Off, Cascade, Figuration
Sébastien OSMONT est né un beau matin d’avril à Goupillères, charmant petit village de Normandie.
Il y passe son enfance ainsi que toute son adolescence dans l’indifférence la plus totale. Après une scolarité catastrophique, il se destine au formidable métier d’ajusteur fraiseur. Le déclin de l’empire métallurgique de l’époque le fait alors rapidement changer d’avis. S’entame ensuite une longue période d’errance où il flirtera avec les métiers les plus hétéroclites, tout cela pour finir un beau matin d’avril, par signer un contrat CES a la MJC de Rouen rive gauche. Ce contrat va alors chambouler sa vie.
Cantonné dans un premier temps à l’entretien des locaux, il va très vite s’initier à L’ART, l’art de la poterie ; les arts du cirque…
Ces moments d’euphorie, il va continuer a les vivres de façon sporadique, soit dans les stages de théâtre de Christelle Vermond, soit en allant se ridiculiser dans les cours de danse d’Anne-Marie Ygout.
S’ensuivent plusieurs tentatives de spectacles de rue où Sébastien OSMONT (puisque c’est toujours de lui dont on parle), se confronte directement avec le public, ce qui lui permet de découvrir malgré lui ses talents de comiques.
Et c’est encore un beau matin d’avril qu’il rencontre la Compagnie MARCHE OU REVE qui va lui proposer ce pourquoi il a toujours été fait, un domaine dans lequel son inculture, sa difformité naturelle et ses manies de vieux garçon ne seront plus une tare, bien au contraire. En effet, on lui propose de devenir CLOWN.
Il fera pisser de rire ses contemporains dans les deux premiers spectacles de la Compagnie. (Tubouchoukabal, Dézakordam)
Persuadé qu’il peut percer dans ce domaine, il se formera avec les plus grands de Marseille à Paris, de Toulouse à Toulouse. (Bruno DELEU, Vincent ROUCHE, Carina BONANT, Michel DALLAIRE)
Enfin ! Sébastien OSMONT (encore lui) s’aventure dans un SOLO, un condensé de toutes les expériences susnommées et qui s’appellerait « Ca mange pas d’pain ».
De ce solo découlera une notoriété nationale qui le propulsera au rang de prof de clown et aussi à celui tant convoité (de part son statut de cadre supérieur) de metteur en scène.